En 2008, Michel Fourniret dit le Monstre des Ardennes est reconnu coupable de 11 meurtres dont des mineurs. Sa sentence est irrévocable : prison à perpétuité.
Dans sa cellule, il est tel un lion en cage, enfermé entre des barreaux qui restreignent sa liberté.
Nous nous pensons très différents de lui car nous sommes libres de nos mouvements et pouvons nous déplacer où nous voulons quand nous voulons.
C’est faux.
Nous sommes tous prisonniers.
Prisonniers des barreaux de notre propre esprit.
Croyances limitantes, auto-dénigrement voire auto-destruction, anxiété, angoisse, dépression, addictions, violence, colère, comparaison, jugement, jalousie…
Tout cela constitue des poisons toxiques que nous prenons à dose plus ou moins importante chaque jour, et nous en sommes seuls responsables.
Par ce biais, nous nous rendons malheureux, apathiques, tristes, dépressifs.
Nos comportements sont la conséquence logique du contenu de notre esprit et c’est ainsi que l’on peut en arriver à mentir, voler, violenter voire tuer dans le pire des cas.
Fondamentalement, nous ne sommes pas si différents de Michel Fourniret.
Lui a passé le cap du comportement et il paie les conséquences de ses actes.
Néanmoins, qui n’a jamais pensé faire du mal à quelqu’un d’autre, à frapper, voler ou faire du mal, pour une raison ou pour une autre ?
Nous récoltons les fruits de tout ce qui germe dans notre esprit (tu peux appeler ça le karma).
Ces poisons toxiques nous imprègnent chaque jour, ils ont un impact sur notre vie, notre bien-être et notre bonheur.
Ils ont aussi une influence sur les autres puisque nous sommes en interaction permanente avec eux.
Mais je ne fais pas partie de ceux qui disent que l’homme est naturellement violent et mauvais, puisque c’est faux.
Les études sur l’altruisme et la compassion dont Mathieu Ricard parle largement dans son livre “Plaidoyer pour l’altruisme” le prouvent.
Néanmoins, ce potentiel altruiste en chacun de nous n’empêche pas toutes ces négativités qui sont des poisons pour l’esprit, nous font souffrir et nous rendent malheureux.
Les chercheurs en neurosciences affirment que nous avons 60 000 pensées par jour et que 90% d’entre elles sont répétitives et négatives.
Si tu as déjà observé tes pensées ou médité, tu as remarqué à quel point tes pensées sont du poison.
Et si je te disais qu’il existe une solution pour te libérer de cette négativité ?
Une solution simple découverte il y a 2 500 ans que tu peux pratiquer dès aujourd’hui pour commencer à scier les barreaux de ta prison.
Ca te tente de le découvrir ?
Allons-y, je fais le guide.
Il était une fois…
Voilà 25 siècles, un jeune homme, prince de son état, s’ennuie dans le palais familial et entreprend une promenade qui le marque profondément. Il rencontre successivement un vieillard marchant avec peine, un pestiféré couvert de bubons purulents, une famille en larmes qui transporte le cadavre d’un des leurs vers le bûcher, et enfin un moine mendiant qui, un bol à la main, quête sa nourriture, les yeux baissés.
À 29 ans, il réalise alors que si sa situation le met à l’abri du besoin sur le plan matériel, rien ne le protègera de la vieillesse, de la maladie et de la mort.
Il décide de quitter son palais et entreprend une vie d’ascèse, se consacrant à des pratiques méditatives austères.
Les années passent et fort de ses expériences extrêmes, il choisit plutôt la voie du milieu, qui consiste à nier les excès, refusant autant l’austérité excessive que le laxisme.
Un jour, il s’assied sous un arbre, faisant vœu de ne pas bouger avant d’avoir atteindre la Vérité.
Alors, à l’âge de 35 ans, il accède à l’éveil.
Il affirme être parvenu à la compréhension totale de la nature, des causes de la souffrance humaine et des étapes nécessaires à son élimination.
Il insistera toujours sur le fait qu’il n’est ni un dieu, ni le messager d’un dieu, et que l’illumination ne résulte pas d’une intervention surnaturelle, mais d’une attention particulière portée à la nature de l’esprit humain ; elle est donc possible pour tous les êtres humains.
Il passera les 45 années suivantes de sa vie, jusqu’à son dernier souffle, pour enseigner sa pratique méditative afin d’aider un maximum d’êtres humains à atteindre la paix et le bonheur.
Ses derniers mots avant de mourir à l’âge de 80 ans furent : « L’impermanence est la loi universelle. Travaillez avec diligence à votre propre salut. »
Cet homme, c’était Siddhārtha Gautama aussi appelé Bouddha.
Mais pas LE Bouddha tel qu’on l’entend, un Dieu qu’il faudrait prier (certains en ont fait une culte, une religion), à qui il faudrait donner des offrandes ou chanter des mantras pour qu’il daigne nous libérer de la souffrance ou ramener nos proches de la mort.
Non, c’était un humain avant tout.
Non, c’était UN bouddha, parmi d’autres. Ce terme voulant simplement dire “éveillé” et concerne toute personne s’étant libéré de ses souffrances.
La bonne nouvelle, c’est que sa pratique lui a permis de se libérer et il l’a a enseignée tellement qu’elle a pu être conservée, transmise jusqu’à aujourd’hui par différents moines et étendue à nos contrées européennes grâce, entre autre, à S.N Goenka, figure éminente du siècle dernier qui a passé, lui aussi, la moitié de sa vie à transmettre cet enseignement.
Cette pratique ?
C’est Vipassana.
Qu’est-ce que Vipassana ?
Vipassana veut dire “voir la réalité telle qu’elle est.”
- C’est une technique qui éradiquera la souffrance.
- C’est une méthode de purification mentale, qui permet de faire face aux tensions et aux problèmes de la vie, d’une manière calme et équilibrée.
- C’est un art de vivre qu’on peut utiliser pour contribuer de façon positive dans la société.
Autrement dit, rien de perché, rien de religieux, rien de flou, rien de bizarre, rien de dogmatique ou de sectaire.
Cette technique est simple, pragmatique, indépendante de toute religion et tout le monde peut la pratiquer pour en retirer ses bienfaits.
Pour la comprendre, il s’agit de connaître ce que Bouddha appelait les 4 nobles vérités :
1/ La vie est pleine de souffrance : aussi longtemps que nous vivons, nous connaissons la souffrance. Naissance, maladie, mort, deuil, rupture…
2/ Il y a une cause à cette souffrance : c’est la “soif” et “l’ignorance” (au sens de ne pas voir la réalité telle qu’elle est) qui engendrent les trois racines du mal : la convoitise, la haine et l’erreur. Dès le moment on l’on s’attache à quelque chose d’impermanent, on crée de la souffrance en nous.
3/ Il est possible de faire cesser ces souffrances. Une fois les causes connues, on agit sur les causes pour les éradiquer et se libérer.
4/ En suivant le Noble chemin, en poursuivant la pratique avec patience et persévérance, on se délivre de la souffrance et on atteint la libération totale.
Pour se libérer de toute cette souffrance que l’on s’inflige à chaque instant par notre esprit, la clé est d’apprendre à voir la réalité telle qu’elle est sans y réagir.
J’ai eu l’immense chance de participer à un cours de 10 jours de Vipassana sur l’île Maurice et d’apprendre cette technique de méditation internationalement reconnue (mais encore trop peu connue et pratiquée).
Voici brièvement ce que j’y ai appris.
L’enseignement du Dhamma (ou Dharma)
La voie du Dhamma, c’est la loi universelle, la loi de la nature.
Elle est composée de trois piliers que j’ai découvert pendant ces 10 jours.
- Sīla : la moralité, la vertu.
Il y a 5 préceptes à respecter sur se base la pratique : s’abstenir de tuer tout être vivant, s’abstenir de voler, s’abstenir de toute conduite sexuelle déviante, s’abstenir d’avoir de mauvaises paroles et de mentir, s’abstenir de consommer des intoxicants (alcool, drogue…) - Samādhi : la concentration de l’esprit. Ce deuxième pilier n’a jamais été aussi important qu’aujourd’hui. À l’ère des réseaux sociaux et du smartphone, l’attention se fait de plus en plus rare et devient un problème chez de plus en plus de personnes, incapables de se concentrer quelques minutes.
L’idée ici est d’affûter l’esprit tel une hache pour fendre la bûche de l’illusion et de la souffrance.
Comment ? Par la méditation sur un objet qui n’est autre que notre propre corps, surtout notre respiration et nos sensations. - Paññā : la sagesse. Pas la sagesse issue de sachants, de philosophes ou de maîtres. Ni la sagesse issue de la réflexion ou de l’analyse.
On parle de la sagesse obtenue par l’expérience personnelle, en pratiquant cette méditation.
C’est le cœur de la pratique de Vipassana où l’on s’entraîne à percevoir la réalité telle qu’elle est.
Et pas n’importe quelle réalité, NOTRE réalité par expérience directe sur notre propre corps et notre propre respiration.
Ainsi, pour atteindre “l’éveil” (si tant est que ce soit un but en soi), il s’agit d’apprendre à observer la réalité telle qu’elle est, dans son impermanence et avec une totale équanimité.
L’impermanence ?
Tu en fais l’expérience tous les jours, comme moi.
Mentalement, je suis sûr que tu es d’accord avec moi : tout change tout le temps.
Le soleil se lève et se couche, les arbres perdent leurs feuilles, des cheveux blancs apparaissent, la joie arrive puis repart pour faire place à la tristesse, la réconciliation suit la dispute…
Par contre, dans ton expérience, tu n’acceptes pas cette impermanence.
Tu as peur de la maladie, de la mort, tu ne veux pas concevoir que tes parents, tes proches et toi-même allez mourir.
Quand tu vis un moment agréable, tu aimerais que ça dure toujours et tu es nostalgique des anciens moments agréables.
Quand tu vis un moment désagréable, tu n’as qu’une envie : que ça cesse.
Nous nous attachons à tout ce qui est impermanent, voulant changer la loi de la nature.
Par l’évidence, nous aimons nous accrocher à l’illusion de la permanence parce qu’elle rassure et donne une impression de sécurité, sauf que la réalité nous rattrape très vite : RIEN ne dure.
Alors, on a mal, on souffre.
Ainsi, l’une des choses les plus pertinentes que l’on puisse faire, c’est observer cette impermanence et ne pas y réagir, juste l’observer avec équanimité.
L’équanimité ?
C’est le fait de ne pas réagir, d’être ni dans une polarité, ni dans une autre, mais plutôt dans une sérénité, une acceptation. (ce qui n’est pas de l’indifférence ou du déni)
Si je suis coincé dans les bouchons, plutôt que de lutter contre la situation et de vouloir autre chose, je regarde la réalité telle qu’elle est “je suis dans les bouchons” et j’accepte sans désir ni aversion la situation puisque cela va passer.
Si je suis sur une plage paradisiaque en train de profiter du soleil, plutôt que de m’exalter et d’espérer que ce moment durera toujours (ce qui est impossible), je regarde la réalité qui est “je me repose sur cette plage” et j’accepte la situation puisqu’elle va passer aussi.
Certes, tu me rétorqueras c’est que plus facile d’accepter une situation agréable que désagréable.
Et c’est justement ça le point névralgique : notre esprit est extrêmement habitué à étiqueter négative une sensation désagréable et à étiqueter positive une sensation agréable.
C’est ainsi que nous sommes en perpétuelle réaction face au monde extérieur, oscillant entre désir et aversion, l’esprit jamais calme, toujours tiraillé entre deux forces opposées.
Il fait soleil, je suis en vacances, je suis en famille, je fais la fête : je développe de l’avidité et j’aimerais vivre ça et uniquement ça.
Il pleut, je travaille dans un bureau gris, je suis seul, je m’ennuie, j’ai des problèmes avec le fisc : je développe de l’aversion et je ne veux pas vivre ça.
Quand on réagit comme ça, on est en déni par rapport à la réalité et on souffre.
Or, le meilleur moyen de souffrir, c’est bien de lutter contre la réalité.
En pratiquant Vipassana, on s’entraîne à voir la réalité de notre propre corps telle qu’elle est, sans y résister, sans désir, aversion ou attachement, avec équanimité.
Vipassana agit comme une chirurgie de l’esprit qui va déraciner les impuretés de l’esprit au niveau le plus profond de l’inconscient, les unes après les autres. En effet, dès lors qu’on observe notre réalité avec équanimité, les négativités en nous sont délogées et éliminées, à la manière des toxines qui remontent à la surface et sont éliminées par le corps quand on est en jeûne.
C’est alors qu’on se libère de tous les poisons mentaux qui nous font souffrir et que peu à peu nous entrons dans la véritable paix et le vrai bonheur.
Même si c’est un long chemin, les premiers bénéfices se font ressentir très rapidement.
Se libérer de toutes les souffrances, ça ne se fait pas du jour au lendemain, c’est évidemment une pratique de longue haleine.
Et il serait tout aussi impertinent de pratiquer pour espérer un jour “atteindre l’éveil”.
Pourquoi ?
Parce que ce “un jour” n’existe pas. Si tu es familier de l’instant présent, tu vois de quoi je parle.
Le but, c’est de s’épanouir dans le chemin, et le chemin c’est maintenant, pas demain ou dans une semaine.
Le chemin est une succession de moment présent, donc pratiquer Vipassana a simplement pour but d’améliorer mon expérience de l’instant présent.
Et au plus je pratique, au plus mon instant présent s’imprègne de bonheur, de paix et d’harmonie.
Quels bénéfices attendre de la pratique de Vipassana ?
Si cette méditation était un médicament, tout le monde se l’arracherait telle une pilule magique pour la breveter tellement elle apporte de bénéfices sur la vie de celui qui la maintient dans le temps :
• Sommeil plus récupérateur, moins besoin de dormir
• Concentration accrue, capacité de travail décuplée
• Stabilité émotionnelle beaucoup plus forte,
• Développement de l’amour véritable, de l’altruisme, de la compassion, envie de contribuer et d’aider les autres
• Diminution voire disparition du stress, de l’anxiété, de l’angoisse
• Diminution voire disparition de la colère, de la rancoeur, de la frustration, de la jalousie et de toutes les émotions incontrôlables
• Diminution voire disparition des pulsions, des addictions, des comportements violents envers soi et envers les autres
• Diminution voire disparition des maladies psycho-émotionnelles et somatisations
• Augmentation du sentiment de paix, de la sérénité et du bien-être
• Une vie plus agréable pour soi-même et pour les autres
En clair, il est logique, pragmatique et évident de pratiquer Vipassana.
Fais très attention…
Juste avant de t’expliquer comment tu peux l’apprendre, voici 3 ennemis qui vont t’empêcher de tester et/ou pratiquer Vipassana (qui sont liés à ton propre esprit, évidemment) :
• Croire que ce n’est pas pour toi : “je ne suis pas bouddhiste”, “je suis quelqu’un de colérique”, “je n’y crois pas”, “ça ne marchera pas avec moi”
La réalité : c’est pour tout le monde, blanc, noir, athée, catholique, juif, bouddhiste, musulman, jeune, vieux. La souffrance est une “maladie” universelle, Vipassana est un “remède” universel.
• Croire que tu n’as pas le temps : “mon travail me prend trop de temps”, “je n’ai même pas le temps de lire”, “c’est pour les chômeurs”, “j’ai des enfants et une vie de famille”
La réalité : si ta priorité n’est pas d’aller mieux dans ta vie, de vivre une vie agréable et en paix, pose toi des questions. Dès lors que quelque chose est prioritaire pour toi, tu prends le temps.
• Croire que ça va te déshumaniser : “je ne veux pas être équanime”, “j’ai peur d’être indifférent à tout”
La réalité : c’est le contraire. Vipassana t’enseigne à délaisser ton ego pour revenir à la réalité, ça développe le véritable amour altruiste et pas le pseudo-amour qui n’est que de l’attachement et du marchandage dont nous faisons l’expérience au au quotidien.
Tu veux découvrir Vipassana ?
Depuis le siècle dernier, des cours sont organisés partout dans le monde, dans plusieurs langues.
Le minimum pour apprendre la technique est un cours de 10 jours.
Car ce n’est pas de la méditation pleine conscience, ni avec des mantras, ni avec des visualisations. Elle demande du temps de pratique pour être intégrée et 10 jours est nécessaire.
Honnêtement, tout le monde devrait faire au moins un cours de Vipassana dans sa vie mais ce n’est PAS pour tout le monde, il faut être prêt.
C’est une expérience difficile de 10 jours en silence, seul avec toi (même s’il y a les autres autour) avec 10 heures de pratique de méditation par jour et aucune distraction permise (pas de téléphone, pas de livre, pas de carnet, pas de musique) pour opérer un vrai changement dans ton esprit.
C’est un vrai engagement à prendre envers soi-même mais ce n’est pas la mer à boire puisque je l’ai fait comme des centaines de milliers de personnes.
J’affectionne cette pratique et souhaite la promouvoir parce qu’elle est universelle, apporte du bien (j’en ai déjà vu les bénéfices sur moi) et ne demande de croire à aucun dogme, aucune croyance, aucune religion.
C’est une pratique simple, concrète, efficace et scientifique, depuis le temps qu’elle existe.
Pour respecter la tradition de Vipassana et transmettre la technique de manière pure, il n’y a aucun aspect commercial, ce qui est une commodité supplémentaire : l’enseignement est totalement gratuit, y compris l’hébergement et la nourriture.
Il n’y a que des bénévoles qui ont eux-mêmes récolté les fruits de Vipassana et qui sont là pour permettre à d’autres de l’apprendre, c’est purement altruiste et désintéressé, ce qui est très plaisant à vivre. Certains (comme moi avant) pourraient avoir du mal à y croire tellement ça paraît trop beau !
Les cours ont lieu uniquement grâce aux donations des anciens étudiants (dont je fais partie) qui donnent en cohérence avec les bénéfices qu’ils ont retiré de leur retraite. La donation est libre et chacun donne ce qu’il veut.
Si tu veux t’inscrire, tu as toutes les informations sur le site officiel ainsi que sur YouTube.
Toutes les informations théoriques et pratiques y sont présentes, des discours, des conférences, des retours d’anciens étudiants.
À toi de voir maintenant : est-ce qu’il est l’heure pour toi de vivre une vie de paix et d’harmonie ? Une vie plus cohérente avec tes aspirations profondes ? Une vie plus consciente, plus respectueuse de toi-même et des autres ?
Si oui, prends la décision et fais l’expérience en bloquant dès maintenant une date dans ton calendrier.
« Une vraie décision est mesurée par le fait que vous avez pris une nouvelle action. S’il n’y a pas d’action vous n’avez pas vraiment décidé. » – Anthony Robbins
Ne me crois pas sur parole, va juste tester et tu pourras décider si oui ou non c’est pour toi.
Pour finir, voici en image les résultats que ça a donné sur moi (ceci est mon EEG mesuré avec le bandeau Muse en faisant une méditation d’une heure).
Fraternellement,
Fabien
PS : pour en savoir plus sur mon retour d’expérience, un podcast sera disponible dès le 2 août sur ce lien.
Sources :
Wikipédia
Dhamma.org
Mon expérience